Qui suis-je ?

    “Salut, moi c’est Stéphane, Stéf, ou Sté, voire le photographe, ou même Sebastien quand on ne retient pas les prénoms.Bon, si tu lis ces quelques lignes, c’est que tu sembles vouloir en savoir un peu plus sur moi, avant d’éventuellement me contacter pour que nous réalisions ensemble ton projet photographique.

    Je t’éviterais tous ces discours gnian gnian des photographes qui te disent “j’ai reçu un appareil photo par mes parents, et dès le début j’ai trop kiffé, j’ai voulu en faire mon métier, etc …..”. On est d’accord, nous l’avons tous lu à un endroit ou à un autre. Et certainement, pour la plupart, c’est faux !

    Dans cette description, je ne vais pas te dire que je vais te créer des souvenirs qui perdurent dans le temps, et patati, et patata. Non. Les souvenirs, tu vas te les créer tout seul. Moi, je serais simplement là pour les capturer, afin de te les remettre sur un support qui lui, pourrait être transmis aux générations futures.

    Pour en revenir à moi, outre le fait que mes parents m’ont appelé Stéphane; en 2021, j’ai 36 ans …. Aïe, ca pique quand j’écris ça. Si je rase ma barbe, je peux descendre à 20 ans. Mais il y a tout de même peu de chance que cela arrive.Je suis père de 2 enfants : Hugo, 10 ans, ma plus grande fierté, et Gaïa, 4 ans, ma petite princesse.

    J’ai commencé a vraiment prendre des photos lors de la première grossesse de ma femme. N’étant pas super épanouie dans mon activité de l’époque, j’ai décidé de me lancer dans la photo en micro entreprise. Avec un enfant qui allait arriver, un crédit maison, je ne me voyais pas tout lâcher pour la photo a l’époque.Je n’avais aucune certitude, mais travailler en double activité m’a permis de me créer un peu de réseau, des clients fidèles. Chaque année, l’activité photographique prenait de plus en plus de place, que ce soit dans mon emploi du temps, que dans le salon avec le matériel.

    Sauf que travailler sur 2 fronts en même temps, c’est très épuisant. L’été, c’était des semaines de 7 jours sans réel pause, beaucoup de fatigue, de nervosité.

    En 2019, il était temps de faire un choix : je dois arrêter l’un de mes 2 emplois. Et autant vous dire que, la photo, c’est un peu comme une drogue. C’est très dur de la rejeter lorsqu’on y a vraiment goûté. Donc depuis octobre 2019, juste avant l’arrivée du COVID, je me suis mis à temps plein. Au passage, tu noteras le super timing pour me lancer à fond. Six mois après, nous étions en plein confinement.

    Mais depuis ce jour, je me sens bien, et je ne regrette pas du tout mon choix.

    C’est bon, tu es encore là? C’est cool, et cela me fait plaisir. Maintenant que les présentations sont faites, je vais t’expliquer comment je conçois la photographie. T’inquiète pas, je ne vais pas te parler d’ouverture, sensibilité ISO, flash, etc …. Non, dans les prochaines lignes c’est une réflexion plus personnelle sur le monde de la photographie.

    Avec l’âge, j’ai appris à voir les choses autrement, mon approche également. Le rôle de la transmission par le biais de la photographie est très important pour moi. Avoir des enfants nous fait changer toutes nos attentes et nos certitudes et même certaines convictions.

    Depuis le début de cette année, je me considère maintenant comme un papatographe. Le terme est peut être un peu loufoque, mais il reflète à merveille mon état d’esprit. Je suis photographe, mais père avant tout.

    Beaucoup de photographes vous parleront d’une fibre maternelle pour prendre vos bébés en photos. Je pense qu’une fibre paternelle peut également avoir sa place.

    Corentin Azamoun

    Depuis l’année dernière, j’aime prendre les papas en photo. Je trouve qu’il n’y en a pas assez sur les réseaux sociaux, internet, etc … Il existe beaucoup d’offres sur le marché pour des séances “mère et enfants”. Mais le père dans tout cela? Notre rôle de père a changé ces dernières années, par rapport à nos parents, grands-parents. Nous nous occupons beaucoup plus de nos enfants, donc, il est indispensable qu’il ait une plus grande représentation paternel. Et ça, je veux le voir sur les photos que je prends.Alors oui, je sais, les hommes n’aiment pas trop être pris en photo, je peux le comprendre. Poser, ce n’est pas évident, où regarder, que faire de ses mains, etc … Comme le dit une grande enseigne de fast food, “venez comme vous êtes”. Mon but n’est surtout pas de vous mettre mal à l’aise, mais de vous proposer une séance qui vous plaira.

    Au passage, je tiens à dire que je ne rajoute pas de muscles, abdominaux, cheveux aux hommes et je ne transforme pas les physiques, ni rajeunit les peaux des femmes. Vous êtes beaux comme vous êtes.

    Mon approche dans mes séances est d’être avant tout un moment de détente. Faire des photos, ce n’est pas aller travailler à l’usine en 3x8h. Autour d’un café, nous discutons, apprenons à faire connaissance, c’est important. Une certaine complicité doit se créer pour avoir un rendu sympa sur les photos. Il faut vraiment se sentir bien car en photographie, tout se voit.

    Le critère / argument de l’argent ne doit pas être la principale motivation pour choisir son photographe. Un prix très haut n’est pas forcément signe de qualité, et du même principe, si le feeling ne passe pas avec le photographe, quel plaisir allez-vous avoir pour votre séance?

    Je n’ai pas la vocation de transformer la photographie. J’essaie d’appliquer mon état d’esprit dans mes photos. Il faut que cela soit sobre, mais cool, et surtout, dans la bonne humeur. Malgré les semaines compliquées que nous traversons, il faut toujours garder le sourire et le moral.Cela pourrait être un bon critère pour enfin vous lancer. Une séance en couple, un bébé à venir, un projet de mariage ou bien une séance en famille ? Il y a beaucoup d’occasions pour faire appel à mes services. Tu peux m’appeler afin que nous en discutions, cela sera avec grand plaisir. Le plus dur, c’est souvent de se lancer. Mais fais moi confiance, cela va bien se passer !

    Je te laisse mon numéro : 06.75.55.14.87

    A tout de suite

    Stéphane